D’après l’association One Voice, qui a porté cette procédure en justice, la préfecture avait autorisé l’éleveur à tirer sur des loups en 2022 après « des attaques qui n’étaient pas documentées, ni prouvées ».
D’après l’association One Voice, qui a porté cette procédure en justice, la préfecture avait autorisé l’éleveur à tirer sur des loups en 2022 après « des attaques qui n’étaient pas documentées, ni prouvées ».