«Les choses ne peuvent plus rester en l’état. Nos éleveurs ne peuvent plus supporter davantage que leur cheptel, le travail de toute une vie, soit décimé par la réintroduction dans nos territoires d’un animal prédateur qui n’y était plus présent et qui était sensé, non pas s’en prendre aux troupeaux, mais à d’autres animaux sauvages qu’il était sensé réguler.