Bien que le Conseil d’Etat ait refusé, le 30 mai, de suspendre l’arrêté ministériel encadrant l’effarouchement de l’ours, les acteurs ariégeois de la montagne craignent que l’été 2023 ressemble à celui de 2022 : une cascade d’arrêtés préfectoraux l’autorisant, et une cascade d’actions visant à les invalider.