Le jeune ours avait fait les gros titres en mai dernier, surpris à Auzat par des agents de l’Office français de la biodiversité et les propriétaires en pleine expertise sur des ruches qu’il avait mangées la nuit précédente. Depuis, une bataille judiciaire s’était engagée autour de lui pour savoir s’il pouvait être effarouché ou non et la cour administrative a rendu son verdict.