Depuis un arrêté publié le 13 juin, la préfecture de l’Ariège a autorisé l’OFB à tirer des munitions assourdissantes contre un jeune ours qui s’est, à plusieurs reprises, approché trop près d’humains. L’association One Voice a pris sa défense et demande la suspension de l’acte administratif. Le tribunal administratif de Toulouse examine cette demande, ce jeudi 4 juillet.