Selon lui, elle ne résout pas du tout le problème de la prédation. Des biologistes expliquent qu’une meute est très forte pour chasser le gros gibier comme le sanglier, le cerf ou le chevreuil et, lorsque les mâles reproducteurs sont tués, les survivants ne peuvent plus attaquer ces gros gibiers et s’en prennent aux brebis qui sont mal protégées.
Source : « Ne tuez pas le troisième loup de l’Hérault ! » – midilibre.fr