Depuis trois ans, les pouvoirs publics ont autorisé, dans un cadre très corseté, des opérations d’effarouchement des ours quand certains troupeaux pyrénéens sont touchés de façon conséquente par les prédations. Opérations décrites par un arrêté ministériel annuel, que certaines associations environnementales ont pris pour cible. Avec un certain succès jusqu’ici.