Le Plan national d’actions sur le loup et les activités d’élevage, dit « Plan national loup », élaboré en 2018, s’appliquera jusqu’en 2023. Il devra, après cette date, faire l’objet d’une refonte pour réguler autrement la présence de ce prédateur réintroduit en France dans les années 90 sans la moindre concertation préalable avec les élus locaux et les éleveurs. C’est là un exemple parmi tant d’autres d’une vision urbaine et technocratique de la ruralité, qui ignore ou fait fi des réalités des territoires et de leurs habitants.
Source : BIODIVERSITÉ : Josiane Corneloup veut en finir avec la «surprotection du loup» – Infos Dijon