Présent depuis 2019 dans l’Ain, le loup fascine autant qu’il divise. Quand les anti et les pro se déchirent, d’autres revendiquent une voie centriste. C’est le cas de l’Association des protections alternatives pour la cohabitation de l’élevage et de la faune sauvage (Apacefs). Une position qui interroge notre capacité et en particulier, celle des éleveurs à accepter la nature.