Le plan loup pour les années 2024-2029, présenté par le gouvernement, a reçu un accueil très mitigé. Au-delà des débats autour de la véracité des chiffres sur le nombre de loups en France ou les solutions pour limiter la prédation, ce nouveau plan ne prend pas en compte l’ensemble des conséquences des attaques pour les éleveurs, les troupeaux et les chiens de protection. Boris Emeriau, éleveur de brebis et berger, membre de la Confédération Paysanne, réagit auprès de « Marianne ».
Source : Prédation du loup : « J’ai déjà pensé à garder mon troupeau avec un fusil »